Depuis quelques années, les startups sont partout : les levées de fonds s’enchaînent, les médias relaient les success stories à la pelle, les offres d’emploi déferlent sur le net. Les jeunes diplômés ne rêvent plus forcément de travailler chez LVMH ou Nestlé, mais plutôt de monter leur propre boîte ; les grandes écoles remanient leur discours et créent volontiers des incubateurs afin d’héberger les pépites de demain. Tout le monde a vu l’ascension de Mark Zuckerberg dans The Social Network, et s’est rué en librairie pour acheter la bio de Steve Jobs… peu importe de l’avoir lue ou pas, l’important est de l’avoir dans sa bibliothèque.
Mais qu’ont donc les startups pour fasciner à ce point ? Pourquoi ressentons-nous une petite pointe de jalousie lorsqu’on entend « je bosse dans une startup » ? Chez Urban Linker, on a notre petite idée sur la question, et on vous le donne en mille :
Exit les n+3, +4, en startup la hiérarchie est dite « flat ». On a un poste, un manager (parfois) et un DG (souvent), mais c’est bien tout. Conséquence ? Les prises de décision sont simplifiées et on travaille avec bien plus d’autonomie. La communication est plus fluide, et les managers plus accessibles. D’ailleurs, on partage bien souvent son bureau avec tout le reste de la boîte, ce qui tend inévitablement à créer des liens. Ce qui nous amène à…
Les patrons de startups ont vite compris qu’un employé heureux est un employé plus efficace, et ils ont adopté le « feel good management » (on vous explique ce que c’est ici). Tout est mis en place pour choyer ses travailleurs : coins détente / sieste, tables de ping pong, bornes d’arcade… viennent se mélanger aux bureaux et aux salles de réunion. Aller boire des verres après le travail avec ses collègues et son boss est monnaie courante, et toute occasion est bonne à fêter (une levée de fonds, un nouvel arrivant dans la boîte, la fin du mois / de la semaine / de la journée..). La génération Y a tendance à privilégier le bien-être au travail plutôt que le salaire (en tout cas en début de carrière), ce qui pourrait expliquer en partie pourquoi les employés de startups sont si jeunes !
Même si être diplômé d’une grande école vous aidera toujours dans la vie, les startups misent principalement sur la personnalité de leurs employés. Les profils atypiques sont très appréciés, et vous serez sûrement amenés à travailler avec des collègues autodidactes, passionnés… et passionnants !
En startup, tout est à faire : chaque employé participe au développement de l’entreprise. Les moyens sont peu élevés (inexistants) et chacun y va de sa contribution pour avancer. Résultat ? on ne s’ennuie jamais ! Les tâches sont variées, ce qui permet de monter en compétences très rapidement. Autre avantage ? Les perspectives d’évolution sont immenses. Logique ! Si l’entreprise connaît le succès tant attendu, sa croissance sera exponentielle. Les petits veinards ayant été présents dès les débuts se verront alors confier des postes avec des responsabilités et une rémunération bien plus élevées.
Le numérique, c’est le futur de l’économie. Si la France est encore en retard dans certains secteurs, elle n’a pas grand-chose à envier à la Silicon Valley pour ce qui est de l’innovation ! Les startups spécialisées dans la tech bourgeonnent et fleurissent, à Paris comme en province. Un très bon indicateur de cette présence ? Le label de la French Tech, qui prend sous son aile toute entreprise innovante française. En ouvrant un peu les yeux (ou en cherchant sur Google), on réalise que la présence de startups en France est plus qu’affirmée.
L’aventure vous tente ? N’hésitez pas à postuler à nos offres 100% startups !